Le déménagement des beurettes

Et bien ça y est, le grand jour est arrivé ! Samira et Aïcha vont emménager dans leur nouvel appartement. Après avoir autant galéré, après avoir fait autant de travaux, elles font pouvoir enfin profiter de la vie et de toutes les libertés que cet appart va leur procurer. Les déménageurs, cinq jeunes et beaux garçons musclés, viennent d’arriver avec leur gros camion pour enlever les meubles des deux beurettes. Ils constatent assez rapidement que leur camion est bien surdimensionné par rapport à la quantité de meubles à déménager.. Après avoir fait remarqué aux deux jeunes femmes arabes que le devis prévoyait ce gros camion et qu’ils ne pourraient pas diminuer leur tarif, même si ledit camion était au trois-quart vide, les déménageurs proposent d’embarquer les deux maghrébines avec eux à l’arrière du camion afin de les emmener dans leur nouvel appartement. Elles acceptent, évidemment !

Une fois le camion chargé, quatre des cinq déménageurs grimpent à l’arrière avec les deux petits « colis ». Les filles s’assoient à droite, sur des caisses, tandis que les hommes s’installent en face d’elles, à même le sol. Les portes se ferment, un des gars allume une grosse lampe torche laissant, malgré tout, les six personnes dans une pénombre soutenue. Le camion s’ébranle et les rires fusent.

Samira, en bonne petite salope, s’est encore habillée comme si elle partait pour le tournage d’un film de cul : talons aiguilles, jupe écossaise ultra-courte, chemisier de satin blanc serré et transparent, sans soutien-gorge et avec, en guise de culotte, un string inexistant et, pour le moins, inefficace… Aïcha, quant à elle, s’est simplement vêtue d’une combinaison de travail, ultra-moulante, sous laquelle elle est complètement nue. Bien entendu, elle a laissé la fermeture éclair de sa combinaison à mi-poitrine, ce qui donne l’occasion aux lascars de mater une bonne partie de ses magnifiques seins. Celui qui tient la lampe torche, commence à promener, en rigolant, le faisceau lumineux sur le décoté vertigineux d’Aïcha. Se prêtant au jeu, Aïcha bombe le torse faisant ressortir fièrement sa poitrine parfaite. Elle va même jusqu’à ouvrir un peu plus sa combinaison, laissant échapper un sein. Les déménageurs rient et sifflent en voyant la belle ainsi dévêtue. Voyant ça, et un peu jalouse, Samira demande au porteur de la lampe d’éclairer son entre-jambes. Il s’exécute immédiatement. Les hauts-talons et la position assise de Samira lui permettent d’écarter fortement les cuisses. Lorsque le faisceau lumineux caresse le sexe de Samira, il n’y a plus un bruit dans le camion. Tous se taisent devant le spectacle de cette petite chatte arabe, à peine dissimulée par une fine épaisseur de nylon transparent manifestement trempé. En réaction, Aïcha ouvre complètement sa combinaison et fait jailler ses deux seins en interpellant l’éclairagiste occasionnel. Le faisceau lumineux arrive sur la poitrine d’Aïcha, laissant apparaître deux seins splendides, couronnés de deux tétons sombres et bandés par l’excitation du moment. Pour corser l’affaire, la beurette, s’érotise en titillant délicatement ses deux tétons. Plus un seul bruit, à part ceux de la circulation, ne gênent les six personnes; plus un bruit, à l’exception du souffle court venant d’un des quatre garçons. Curieux, le porteur de lampe dirige son faisceau vers son collègue si bruyant et éclaire le déménageur qui est en train de se branler doucement la queue. A ce moment, un autre gars a une idée « lumineuse » : il sort une autre lampe et demande à son collègue de continuer à éclairer la bite de leur copain. Puis, il dirige son propre faisceau sur la chatte de Samira. Entre temps, Samira qui n’est jamais en retard, à ôté son string. Elle se caresse doucement le clitoris avec un mini-vibro, qu’elle a sortit de nulle part. Sa chatte est rouge violacée, brillante de cyprine et bien ouverte. Le garçon qui se branle redouble de vitesse et son souffle s’accélère. Samira commence à gémir, tandis que son vagin laisse échapper des flots de liquide intime. N’y tenant plus, Aïcha se lève en titubant (le camion roule toujours) et se dirige vers l’homme à la queue sortie. Sur le chemin, elle enlève complètement sa combinaison, se retrouvant entièrement nue, à l’arrière d’un camion de déménagement, devant quatre inconnus. Une situation qu’elle adore ! Arrivée devant l’homme qui s’astique elle s’agenouille et commence à branler l’heureux déménageur qui n’en espérait pas tant. Enhardi par l’attitude d’AÏcha, un des quatre garçons bouge à son tour, et à quatre pattes, avance vers le sexe de Samira, de plus en plus rouge et de plus en plus gonflé. Il ne s’arrête que lorsque sa langue est au contact du clito de la belle beurette. Ainsi, pendant quelques minutes, il y a Aïcha qui, à genoux, astique la queue d’un inconnu et Samira qui se fait bouffer la chatte par un non moins inconnu. Et tous ça dans un camion de déménagement !

Pendant ce temps, les deux « laissés pour compte » en ont profiter pour sortir leur bite et se masturber. Leur queues sont naturellement de bonnes tailles, mais la vision des deux salopes beurettes amplifie l’afflux sanguin et donne aux manches des deux hommes des dimensions impressionnantes. Aïcha, qui avait laché la bite de son partenaire pour lui engloutir le chybre dans sa bouche, se lève et lui demande de se coucher à même le sol. Il s’exécute, devinant les intentions de la belle. Sans surprise, Aïcha s’empale directement sur le pieu tendu à la vertical. Elle commence à bouger frénétiquement tout en traitant son amant de « gros salopard trop membré ».Voyant son amie ainsi comblée, Samira demande à son compagnon, qui la lèche depuis un bon moment, d’en faire autant. Il s’exécute aussi sans discuter. Samira s’empale à son tour sur l’objet de son plaisir. Ses mouvements de va-et-viens n’étant interrompus que pas les soubresauts de l’homme sous elle qui a de plus en plus de mal à retenir son éjaculation.

Complètement excités par le spectacle des deux beurettes en train de monter et descendre sur les queues de leurs collègues, les deux hommes restés seuls se regardent, complices, et s’approchent par derrière, chacun d’une des deux arabes en chaleur. Ils enjambent leurs amis et présentent leur pines aux demoiselles. Comprenant la sollicitation, elles se penchent en avant en cambrant leur croupe au maximum vers l’arrière, dans un ensemble parfait, présentant ainsi leur petit trou du cul à ces nouvelles bites rendues gourmandes par le spectacle offert depuis quelques minutes.

C’est Aïcha qui crie la première. Son jeune anus n’ayant pas encore une grande habitude de la pénétration. En plus, il s’agit bien de sa première double ! Les hommes qui la chevauchent sont trés doux, et cette deuxième queue qui s’agite en elle la propulse littéralement dans les limbes du plaisir sexuel. Samira, quant à elle, accueille cette deuxième bite comme une bénédiction. Samira est une vraie nympho, et sa première double-pénétration remonte à un cours de gym en classe de première ! Pendant quelques minutes, les quatre homme liment les femelles en rut que sont devenues Aïcha et Samira.

Le camion s’arrête mais personne ne le remarque…

Tout à coup, les portes s’ouvrent laissant entrer la lumière du soleil. Le chauffeur reste un moment ébahi devant le spectacle qui l’attend dans son camion : ses collègues sont en train de se taper les deux beurettes, et ils s’y sont mis à deux par fille ! Ah, les salauds. Tout ce petit monde souffle, râle, gémit, s’active, c’est un spectacle incroyable. N’y tenant plus, il grimpe dans le camion, ferme les porte derrière lui, dégrafe son pantalon et présente sa bite, déjà durcie, à la fille la plus proche de lui : Aïcha. Cette dernière, qui adore avoir une bonne queue dans la bouche, ne se fait pas prier pour gober l’objet et le flatter comme elle sait si bien le faire… Le nouvel arrivant semble en être ravi.

Après quelques minutes supplémentaires de ce traitement, c’est Samira qui donne le départ. Elle se cambre violemment vers le haut dans un cri qui déchire le calme relatif du camion et exulte dans un orgasme que l’on devine intense. L’homme qui se fait sucer par Aïcha jouit également en remplissant la bouche de sa partenaire qui se délecte de cette semence si appréciée des connaisseuses. Puis, c’est l’extase commune. Énorme, bruyante, dégoulinante. Le camion est devenu un véritable bordel ambulant.

Dès qu’ils ont repris leur esprit, les six partouzeurs se regardent, rigolent et s’embrassent. C’était probablement le meilleur déménagement que les déménageurs aient fait, et sûrement la plus mémorable partie de baise que nos deux beurettes assoiffées de sexe aient vécue. Bien entendu, le devis du déménagement sera revu à la baisse…