Aïcha, la beurette et les ouvriers


Aïcha est une jeune beurette de 21 ans. Ses cheveux noirs sont longs et ondulés et son corps est un appel à l’amour. Aïcha est une véritable petite cochonne arabe. Comme beaucoup de ses soeurs maghrébines, elle est trés portée sur le sexe. Dès son plus jeune âge, elle a pratiqué la masturbation intensive, quatre à cinq fois par jour ! Elle se branlait partout, dans le bus, la main coincée entre ses cuisses serrées, au collège, au cinéma et bien sûr, dans sa chambre. C’est d’ailleurs là qu’elle a inventé ses plus beaux fantasmes. Souvent, elle a rêvé de se faire prendre par plusieurs mecs, mais cela ne lui était jamais arrivé. Non, elle se faisait toujours baiser par un seul mec à la fois. C’était bon, mais assez frustrant, à la longue… Mais, elle ne désesperait pas que cela arrive, et cet appart serait certainement l’endroit où elle découvrirait le « gang-bang » de ses rêves !

Aujourd’hui Aïcha est ravie ! Samira et elle ont réussi à obtenir l’appartement de leurs rêves dans une cité BCBG où habitent déjà plusieurs de leurs copines. Elle est ravie car, comme Samira et ses copines, elle ne pense qu’à se faire baiser et elle sait que dans cette cité, c’est foutre à tous les étages ! C’est simple depuis une semaine qu’elles ont cet appart, Aïcha n’a pas cessé de se masturber et imaginant ce qu’elle pourra faire dans ce lieu. Mais cela ne la calme pas : elle est trempée du matin au soir. En plus, aujourd’hui, elle est seule dans l’appart pour effectuer quelques travaux et recevoir les ouvriers qui vont redécorer ce futur lupanar. Son excitation est vraiment insoutenable. Elle regarde sa montre et constate qu’il n’est que 8h45, ce qui lui laisse 15 minutes avant l’arrivée des ouvriers pour jouer avec son clito. Elle soulève son pull, joue avec ses tétons quelques instants, mais il faut faire vite, dégraffe son jean et commence à titiller son petit capuchon tout gonflé de désir. Après quelques instants de cette excitante pratique, ses doigts s’enhardissent et pénètrent le sexe gourmand. Ses doigts sont collants de la cyprine qui inonde sa chatte. Les doigts accélèrent, ils deviennent nerveux, s’enfoncent de plus en plus loin et de plus en plus vite. Aïcha se cambre, s’empale sur ses propres doigts, gémit de plus en plus fort. L’orgasme n’est plus trés loin, son ventre crie son envie de queues, ses yeux se révulsent, sa chatte envoie des jets de mouille… Lorsque, soudain…

« Mademoiselle Aïcha RABBIT ? » demanda une voix un peu surprise.

Elle ouvrit les yeux et cru défaillir. Elle était là, affallée sur une table basse recouverte d’un drap, complètement nue, les cuisses grandes ouvertes, les doigts encore collants de son jus de chatte tandis que dans l’encadrement de la porte trois ouvriers la regardait, l’air médusés. Enfin, il n’étaient pas tous médusés, l’un d’entre eux, le plus petit, avait sorti sa queue et se branlait frénétiquement en fixant l’entre-cuisses de la jolie beurette. Sa queue était de taille moyenne, par contre, il avait des couilles énormes. Elles paraissaient d’autant plus grosses que le sexe de l’homme était complètement rasé. Il fixait la chatte d’Aïcha comme si il n’en avait pas vu depuis très longtemps. C’était peut-être le cas, car il ne paraissait pas tout jeune, la petite soixantaine environ. Voyant ça, Aïcha ne pu s’empêcher de reprendre le mouvement de ses doigts. Il restèrent là, se regardant tous les deux, et astiquant leur sexe. Au bout de quelques minutes, l’homme s’avança, trés vite rejoint par ses compagnons, plus jeunes, qui avaient aussi sorti leur attirail. La vision de toutes ses bites rouges et tendues déclencha rapidement un violent orgasme dans les reins d’Aïcha. Elle hurla son plaisir en se contortionnant sur la table basse. Les hommes se branlaient de plus en plus vite en admirant le spectacle de cette jeune beurette en train de jouir. D’un coup, l’homme aux grosses couilles s’approcha d’elle, l’attrapa, la souleva, la colla contre lui et la laissa descendre sur son membre viril désireux de sentir la chaleur intime de cette petite salope arabe. La sensation de cette pine au fond d’elle, réactiva le désir d’Aïcha. Après quelques va-et-viens, l’homme aux grosses couiles la coucha sur la table basse et s’allongea sur elle pour la baiser encore plus fort. Ses deux compères en profitèrent pour se mettre à gauche et à droite et présenter leur bite à Aïcha qui ne demandait pas mieux. Elle suça les deux bites tour à tour. C’était divin. Quelques trop courtes minutes s’écoulèrent ainsi. L’homme aux grosses couilles ramonant Aïcha comme un forcené et les deux autres se faisant gober le gland chacun leur tour. Ce fut l’homme aux grosses couilles qui donna le signal de la délivrance. Il se retira et dans un râle caverneux éjacula sur le ventre de la belle maghrébine. Elle comprit rapidement que la taille de ses couilles n’était pas inutile : il éjacula une quantité phénoménale de sperme en longues et puissantes sacades blanches et crémeuses. Aïcha en avait partout, sur le ventre, sur les seins, sur le visage, dans les cheveux. Même les « co-équipiers » de l’homme aux grosses couilles avaient reçu leur dose ! Ce fut probablement la vision de cette beauté arabe, complètement nue, la chatte offerte et le corps recouvert de foutre qui excita tellement les deux hommes qu’ils ne purent résister plus longtemps à la tension sexuelle qui avait été accumulée. Au même moment, il déversèrent leur semence sur le visage d’Aïcha. Les jets du liquide divin vinrent recouvrir tout le visage de la belle. Cette sensation l’excita tellement, qu’elle crut mourir au moment de son deuxième orgasme. Cette fois, il n’avait jamais été aussi violent. Était-ce le fait qu’elle avait été livrée en pature à trois mecs en rut, comme dans ses fantasmes. Était-ce le fait qu’elle était recouverte de sperme chaud ? Était-ce la vision de ces trois magnifiques bites tendues, rien que pour elle ? Elle n’en savait rien. Tout ce qu’elle savait, c’était qu’elle avait pris un pied d’enfer et qu’elle recommencerait dès que l’occasion se représenterait…